Genre : Amiens Europe — Feminist Futures Festival – Danse – Performance

Closeness of touch

Igor Koruga

mercredi 24 et jeudi 25 janvier
New Dreams

Avec Closeness Of Touch, Igor Koruga questionne la place du corps dans un monde saturé d’images et de surveillance digitale. Cette performance percutante, influencée par des années de recherche sur le soin et le bien-être, explore notre capacité à rester connectés au monde. S’inspirant du clubbing, des rassemblements, et de la résistance aux diktats capitalistes, cette création chorégraphique féministe offre une expérience électrique et inspirante. Au-delà des écrans, cette œuvre étonnante, à la physicalité puissante, tient du manifeste et érige le toucher en outil de résistance au contexte actuel.

In Closeness Of Touch, Igor Koruga questions the place of the body in a world saturated with images and digital surveillance. This powerful performance, influenced by years of research into care and well-being, explores our ability to stay connected to the world. Inspired by clubbing, gatherings and resistance to capitalist diktats, this feminist choreography offers an electric and inspiring experience. Looking beyond the screens, this astonishing work, with its powerful physicality, is a manifesto that uses touch as a tool of resistance to the current context.

★ CONFÉRENCE / DÉBAT
Retrouvez Igor Koruga lors de la Feminist School, sur le thème « Des corps et des métamorphoses »
mardi 23 janvier à 12h

🍽 REPAS PARTAGÉS
On se retrouve à la cantine de 18h30 à 22h30 ?
L’occasion d’échanger entre ami.es, avec les artistes invité.E.s et l’équipe de la Maison !

Mercredi : Entrée + lasagnes de bœuf ou lasagnes végétariennes + dessert
Jeudi : Entrée + Porc au gingembre, riz ou cari végétarien, riz + dessert

Tarif de la cantine : 19 €
Réservation obligatoire 48 h avant les repas

GÉNÉRIQUE
Chorégraphie, performance, vidéo, texte Igor Koruga
Dramaturgie Ana Dubljević

Conception des costumes Maja Mirković | Production Institut Goethe & Service Station pour la danse contemporaine | Vidéo Miloš Janjić

photo © Vladimir Opsenica